Ce site est maintenu par une personne qui a jadis fait partie de la majorité. Aujourd’hui, la discrimination positive a fait que la majorité de la population souffre de discrimination, et ce de manière légale, voire encouragée par nos gouvernements et institutions.
L’effet du pendule. Il est vrai que les femmes, handicapées et autres minorités ont eu à se battre pour obtenir l’égalité. Ce fut une dure bataille, en voie d’être gagnée. Je les en félicite, et je les encourage à continuer à travailler pour maintenir ce statut, qui pourrait s’avérer fragile.
Il est d’autant plus fragilisé qu’il y a maintenant exagération, et l’effet escompté, à savoir l’égalité, pourrait être compromis. A force de toujours taper sur le blanc caucasien, et bien, il pourrait bien se tanner et commencer à penser qu’il est temps de revoir certaines positions.
Lorsque les emplois ne sont ouvert qu’aux femmes, autochtones, handicapés, minorités visibles, au détriment de la majorité, il y a un problème.
Nous y sommes. Le problème existe, il doit être dénoncé, et c’est le but de ce site web.
Dénoncer, haut et fort, les injustices faites aux hommes blancs caucasiens.
Devenir transgenre pour avoir une job ?
Il semble que pour postuler un emploi de rectrice universitaire il faut: (et j’exagère à peine).
- Femme – idéalement gaie
- De père autochtone et de mère noire, et avec au moins un grand-parent asiatique, deux c’est mieux.
- Handicapée physique avec contrainte sévère (une jambe à la place d’un bras, genre)
- Handicapée mentale (la ceinture et les bretelles)
Avec ces caractéristiques, vous êtes aptes à postuler, et probablement obtenir un poste de haut niveau dans une université, possiblement rectrice.
La définition de Wikipedia
Le sexisme est une attitude discriminatoire fondée sur le sexe1, ou, par extension, sur le genre d’une personne. Le sexisme est lié aux préjugés et au concept de stéréotype et de rôle de genre, pouvant comprendre la croyance qu’un sexe ou qu’un genre serait intrinsèquement supérieur à l’autre2. Dans sa forme extrême, il peut encourager le harcèlement sexuel, le viol ou toute autre forme de violence sexuelle3. Le sexisme évoque également la discrimination de genre sous la forme des inégalités hommes-femmes4. Les cibles du sexisme sont principalement les femmes5.
La thématique du sexisme est abordée par différentes disciplines comme l’analyse des médias, la sociologie, la science politique, la psychologie ou la philosophie.
Mon opinion – très subjective – mais qui est le fondement de mon propos
- Je crois sincèrement à l’égalité homme – femme. D’ailleurs le genre ne doit pas faire partie de l’équation. L’égalité doit s’appliquer quel que soit le genre réel ou utilisé. Homme, Femme, Transgenre, Non-binaire, etc doivent tous être égaux sauf dans les cas d’exceptions évidents.
- Je crois sincèrement qu’un handicapé doit avoir accès à l’emploi. Cependant, l’égalité ne doit pas s’appliquer. Les emplois peuvent être adaptés, et le gouvernement doit supporter (financièrement ou autrement) cette adaptation. La personne handicapé doit cependant choisir une activité compatible à son état. Un quadraplégique doit-il être favorisé pour être mécanicien d’ascenseur à cause de son état d’handicapé? L’entreprise qui embauche a aussi ses propres contraintes. Une petite entreprise, en démarrage de surcroit, n’a probablement pas les ressources nécessaires pour soutenir le poids additionnel causé par l’adaptation nécessaire, et ne peut donc être forcé à honorer une égalité tellemenet difficile qu’elle menacerait sa propre survie
- Je crois sincèrement qu’aucune discrimination basée sur la race et la couleur ne doit exister. Cependant, la différence d’éducation et de culture de certains immigrants doivent être considérés. Certaines cultures sont tellement différentes que c’est à l’immigré à s’adapter, pas à l’entreprise qui embauche. Quelques exemples: Les talibans et saoudiens qui n’ont aucun respect pour les femmes sont à écarter s’ils n’acceptent pas de s’ajuster à nos valeurs d’égalité.
- Je crois sincèrement qu’aucune discrimination relative aux autochtones ne doit exister. Je comprends qu’historiquement nos sociétés ont maltraités les autochtones Canadiens, les ont brimés par des lois extremement contraignantes, et leur ont infligés des sévices incommensurables, comme en fait foi les récentes découvertes concernant les « Pensionnats autochtones ». Cependant, appliquer un privilège systémique ne répare aucunement ces erreurs du passé. Au contraire, cela les perpétue en les maintenant dans une classe à part. Les autochtones ont accès aux ressources et aux écoles comme tous. Ceux qui choisissent d’élever leur famille à des milliers de kilomètres des ressources et y vivre à temps plein ne devraient pas espérer que le gouvernement paie un aréna de hockey pour leur village de 1000 personnes. Plusieurs Canadiens aiment se prévaloir des zones de chasse et pêches, et le font, en se procurant un chalet dont ils jouissent pendant leurs périodes de repos ou de vacances. Les autochtones doivent comprendre qu’ils doivent vivre ou est la ressource, c’est à dire l’emploi et l’éducation. Ce qui, comme tous les autres, ne les empêchera pas de vivre leur tradition aux moments ou cela est possible. De plus, afin de ne pas subir de discrimination, il est temps que les autochtones cesses de se discriminer eux mêmes. Les autochtones sont fautifs (et oui…). D’une part ils ne veulent pas être discriminés, mais d’autre part ils ne veulent pas payer leurs taxes, respecter les lois (qui d’autre peut opérer un casino dans son village…), avoir sa propre police et être tellement agressif que la police nationale (la Sureté du Québec, au Québec) n’ose pas y entrer sauf en de rares occasions. Ils veulent vivre à des endroits sans emploi, ou l’éducation de niveau supérieur n’est pas possible, etc. Les autochtones doivent se prendre en main, adhérer aux valeurs consensuelles, tout en maintenant leurs croyances et coutumes, comme toute personne religieuse ou immigrée y a droit, et cesser d’abuser de la société dans laquelle ils vivent.
Alain Tagua, 2023